Premier film comorien au format 35mm. Un village comorien. Djibril passe son temps libre à prendre soin d'une villa abandonnée. Alors qu'il est affairé dans cette maison, sa petite case est ravagée par un incendie. Sans logis, il doit trouver un endroit où habiter.
Yves, encadré par le BUMIDOM, a quitté la Réunion au cours de sa jeunesse pour aller travailler en France. Trente ans après, son fils David prend la décision de partir vivre à la Réunion malgré les projets d'avenir que son père a pour lui. Affecté par ce départ, Yves va peu à peu remettre en question sa vie, son travail, ainsi que ses valeurs et va dévoiler la vérité sur son histoire.
Une famille très métissée est réunie pour un repas. Sous le même toit, se côtoient donc des Mauriciens de toutes origines et religions. Quand le jeune Shaad apparaît peint de rouge, tous les stéréotypes sociaux réapparaissent, occasionnant des discussions sur la réalité du vivre ensemble.
Film sélectionné pour « Regards d’Afrique » - Festival de Clermont Ferrand 2011
Une poésie sur le parcours de l’individu à travers l’univers, la poésie de l’être humain, éternel voyageur. Les traces constituent ce que nous sommes, ce que nous allons devenir car elles nous font.
Un village à Maurice. Bissoon, laboureur à la retraite, à un problème : ce matin, pour la première fois depuis 20 ans, le fusible de son vieux poste de radio vient de sauter. Une boutique à l’entrée du village. Ah-Yan le boutiquier ne croit qu’en une chose : la mondialisation... Bissoon vient acheter un fusible à Ah-Yan...
Premier film mauricien en compétition internationale au Festival du Court Métrage de Clermont Ferrand
Jean-Michel Carré, François Chouquet, Claude Randraimihaingo
Type:
Documentaire
Pays:
France/Madagascar
Année de production:
1992
L'Hira Gazy, spectacle populaire par excellence à Madagascar, se déroule chaque dimanche durant toute la journée dans les faubourgs d'Antananarivo devant un public trépidant. Mélange de musiques, chants, danses, joutes oratoires, alternant le sacré et le profane, toute à la fois cirque et opéra, il est le miroir de la société malgache.
Trois jeunes adolescents - deux issus des quartiers défavorisés de Roches-Bois et Shaad issu d'une famille de la classe moyenne de la ville mauricienne de Rose-Hill - nous emmènent à la découverte de l'Atelier Mo'zar. Cette école de musique de jazz, dirigée par l’artiste/saxophoniste engagé José Thérèse détonne. Nous pénétrons dans cet univers particulier où la musique devient symbole d’insertion et d’espoir.
Suite aux événements de protestation sociale qui ont éclaté dans le bassin minier, dans le sud tunisien, en janvier 2008, les militants des droits de l’homme et ceux de la société civile se sont mobilisés pour rompre le « blocus médiatique » entourant ces événements et pour défendre les prisonniers et leurs familles. Ce faisant, le film passe en revue les témoignages des uns et des autres concernant la répression et la torture dont les prisonniers ont été victimes.